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Rencontre avec un étudiant de l'Université

Raphaël Pelloquin, service civique

Direction de la culture

“À la fin de ma licence, j'ai constaté que je manquais de pratique pour entrer directement dans la vie active. J'ai donc été attiré par ce poste en service civique qui me permet de travailler sur du concret, avec une polyvalence entre les domaines du son, de la lumière et du plateau. »

  • Présentez-vous ! Que vous faites-vous à l’université de Rouen Normandie ?

Je m’appelle Raphaël Pelloquin, j’ai 24 ans, j’ai une licence de musicologie et métiers du son que j’ai obtenue l’année dernière à l’université de Rouen Normandie. Je fais d’ailleurs partie d’un groupe de musique nommé Quid Novi dans lequel je suis le guitariste. Et cette année je suis en service civique au sein de la Direction de la culture de l’URN.

 

  • Qu’aimiez-vous dans vos études de musicologie ? Pourquoi avoir choisir ce cursus ?

Je me suis orienté dans cette licence en partie pour le côté métiers du son. Depuis que je suis petit, j’ai toujours été passionné par la musique et je me suis dit que si je n’arrivais pas à devenir musicien et à en vivre, je travaillerais dans ce milieu mais plutôt au niveau de la technique, et en particulier autour du son. Dans cette licence, ce qui est intéressant c’est le mélange entre la technique, la partie scientifique, et la culture de la musique.

 

  • Vous êtes désormais en service civique au sein de la Direction de la culture. Qu’y faites-vous ?

Je suis en service civique au pôle arts vivants, en soutien à la technique de la salle de spectacle de la Maison de L’Université de Rouen. Concrètement j’y prépare, installe et règle le matériel pour les artistes que nous recevons, que ce soit tout ce qui touche à la lumière, le son, le plateau et parfois même la vidéo. Je travaille avec divers intermittents et le régisseur général de la salle.

 

  • Pourquoi avoir décidé de faire ce service civique ? Est-ce que l’association entre ce service civique et vos études vous aident à vous projeter dans un projet professionnel futur ?

J’ai découvert l’existence de ce service civique quand j’étais en L2. À l’époque, nous devions trouver des stages pour valider nos semestres, et j’ai postulé. Au début, j’étais stagiaire, puis j’ai été vacataire à la Maison de l’Université l’année suivante, lors de ma L3. À la fin de ma licence, j’ai constaté que je manquais de pratique pour entrer directement dans la vie active. J’ai donc été attiré par ce poste en service civique qui me permet de travailler sur du concret, avec une polyvalence entre les domaines du son, de la lumière et du plateau. L’intérêt d’avoir suivi ce parcours, est de devenir intermittent du spectacle dans diverses salles de spectacle, de préférence dans le son.

 

  • Conseillerez-vous à d’autres étudiants de faire un service civique ?

Oui, c’est très formateur, j’y ai appris beaucoup de choses. L’intérêt est vraiment de mettre les mains dans la pratique pure, comparé à la licence qui est beaucoup plus théorique.

 

Le site internet de la Maison de l’Université